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Terrence Malick et L’Amérique

Alexandre Mathis - publié le 15 janvier 2015
EdPS001 - 14 x 18,4 cm - 192 pages - cinéma / essai
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Ours d’or à Berlin en 1998 pour La ligne rouge et Palme d’or à Cannes en 2011 pour The Tree of Life, « Le plus mystérieux des cinéastes américains » réalise des films à la fois singuliers et très ancrés dans l’imaginaire américain.

Après une carrière hors du commun, Malick devient aujourd’hui, à plus de 70 ans, un frénétique de travail, réalisant plusieurs projets à la fois. Accompagné de grandes stars hollywoodiennes – de Richard Gere à Ben Affleck, en passant par Sean Penn et Brad Pitt –, il façonne des tableaux impresionnistes sur la solitude, l’incommunicabilité, le deuil et l’espoir.

Qu’est-ce qui fait la spécificité du cinéma malickien ? En quoi le territoire américain inspire sa puissance visuelle, ses thématiques, ses légendes, sa morale ? C’est ce à quoi l’ouvrage « Terrence Malick et l’Amérique » tente de répondre. À la fois essai de vulgarisation et analyse thématique, il offre de nouvelles perceptives pour appréhender le cinéma de Malick. Il est surtout le premier ouvrage francophone à traiter de l’intégralité de sa filmographie et permet ainsi une étude transversale unique.

Terrence Malick, c’est la recherche constante de la beauté transcendantale du monde et de l’esprit. Comment filmer cela ? La mise en sourdine de la violence, la sacralisation des corps ou encore le déracinement sont autant de pistes abordées tout au long de cet essai, dans une langue simple et accessible.

Fondateur du blog cinéma Plan-C et membre du collectif Playlist Society depuis 2011, Alexandre Mathis est un des spécialistes français du cinéma de Terrence Malick. Voir l’intégralité de ses articles sur Playlist Society.

« Complet et documenté, Terrence Malick et l'Amérique est un essai passionnant »
Pauline Le Gall (Le Figaro) [Voir]
« Un point exhaustif sur chaque film du réalisateur américain en n’omettant aucune piste de réflexion. De quoi se réconcilier avec un cinéaste parfois revêche mais souvent passionnant »
Stanislas Claude (Publik’art) [Voir]
« Exigeant mais accessible, ce bel essai est aussi un fort bel objet »
Lucile Bellan (Artistik Zero) [Voir]
« Une découverte émerveillée »
Olivia van Hoegarden (Cine Chronicle) [Voir]
« Un chapitre final de toute beauté »
Travis Bickle (Ciné Blogywood) [Voir]
« Un essai passionnant et documenté »
Stéphane Monnot (Benzine) [Voir]
« Une grille de lecture qui permet d’appréhender la complexité de son cinéma »
Grazia [Voir]
« Alexandre Mathis décortique la puissance visuelle du cinéaste »
Stylist [Voir]
« Une monographie passionnante »
Mehdi Omaïs (Les Cinévores) [Voir]
« Une profonde mise en perspective des grands motifs malickiens »
Hugues Robert (Blog de la Librairie Charybde) [Voir]